Oxford la première à se jeter à l'eau
1er décembre 2013 – Collaboration avec Oxford : Appel de demandes
Les partenariats sur le cerveau sont la suite logique de relations de longue date
Lorsque Le Cerveau@91ÉçÇř a tentĂ© de trouver des partenaires, il n'a pas eu Ă chercher bien loin.Â
« S’il y a un seul nom qui ressort en neurosciences plus que le nĂ´tre, c’est celui de l’UniversitĂ© d’Oxford », admet Claudio Cuello, le directeur du DĂ©partement de pharmacologie et de thĂ©rapeutique de l’UniversitĂ© 91ÉçÇř et ancien professeur Ă l’UniversitĂ© d’Oxford. « J’ai Ă©tĂ© ravi de jouer un rĂ´le dans le fait qu'Oxford soit epremier partenaire de recherche de Cerveau@91ÉçÇř. »
Après que Claudio Cuello l'a prĂ©sentĂ© Ă ses anciens collègues, la Principale de l'UniversitĂ© 91ÉçÇř, Heather Munroe-Blum, a visitĂ© la cĂ©lèbre universitĂ© et le partenariat a immĂ©diatement suivi. On prĂ©voit que le premier Ă©change durera trois ans et les coĂ»ts sont partagĂ©s Ă©galement.
La part de l'UniversitĂ© 91ÉçÇř est soutenue par un don d'Arnold Steinberg qui venait tout juste d'ĂŞtre nommĂ© chancelier de l'UniversitĂ© 91ÉçÇř, lorsqu'il a acceptĂ© de faire un don de 300 000 $.
« Ce n’était que ma deuxième journée », avoue-t-il. « Mais j’ai été honoré de débuter en jouant un rôle dans la formation de ce partenariat. »
Les principaux secteurs seront l'imagerie cĂ©rĂ©brale, l'accident vasculaire cĂ©rĂ©bral (AVC) et la dĂ©mence (Voir Premiers projets financĂ©s). On prĂ©voit que la nouvelle alliance accĂ©lĂ©rera les progrès de secteurs partagĂ©s comme la maladie d'Alzheimer et l'AVC, en Ă©largissant l'Ă©tendue de la recherche et en appliquant diffĂ©rentes mĂ©thodes Ă des problèmes similaires.Â
Un programme d'échange à l'intention des étudiants aux cycles supérieurs et chercheurs postdoctoraux  est prévu pour les prochaines années, ainsi que des postes de professeurs visiteurs.
« Le partenariat réunira des experts en recherche de renommée internationale qui relèveront l'un des grands défis de ce siècle : comprendre comment fonctionne le cerveau », a déclaré le vice-chancelier de l'Université d'Oxford, le Dr John Hood. « En travaillant ensemble, nous pouvons élargir les horizons de nos travaux de recherche et de notre enseignement, et espérer de nouveaux progrès dans une vaste gamme de traitement contre des conditions, de l’autisme à la maladie d’Alzheimer. »
Poursuivez la lecture :